Le livre de lecture

Gertrude Stein

Alice Lorenzi (Illustrations)

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par MARTIN RICHET

À propos

Un chien qui désire apprendre à lire ; un petit garçon nommé Charlie Tsar qui passe son temps à compter les « C » ;
Pourquoi lire est préférable à mesurer, lire à dire, voir à vouloir ? Peut-on dire qu'on est et ne pas être ?... Voici quelques-unes des idées, des questions étranges posées par Gertrude Stein dans ce recueil. Ce qu'elle fait avec le mélange de sérieux et de légèreté qui est de mise lorsque c'est aux enfants que l'on s'adresse, ou que l'on fait semblant de s'adresser. Publié quelques mois après la mort de l'auteure, ce petit Livre de lecture encore inédit en français propose une vingtaine de leçons facétieuses, auxquelles s'ajoutent trois brèves pièces de théâtre, qui jouent avec la langue, la grammaire, les sonorités, et le sens. Sous leur allure désinvolte et ludique, parfois proches du conte, de la comptine, du virelangue, ces courts textes questionnent avec une remarquable acuité notre pratique de la lecture et représentent un concentré de l'écriture de Gertrude Stein, figure tutélaire de la modernité littéraire américaine. Le livre prend la forme d'un petit manuel élégant, à la manière des livres de lecture d'antan, ornementé d'une trentaine de dessins inédits d'Alice Lorenzi.


Rayons : Jeunesse > Littérature Enfants > Romans


  • Auteur(s)

    Gertrude Stein

  • Traducteur

    MARTIN RICHET

  • Éditeur

    Cambourakis

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    23/11/2016

  • Collection

    Cambourakis Jeunesse

  • EAN

    9782366242362

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    82 Pages

  • Longueur

    22.8 cm

  • Largeur

    15.7 cm

  • Épaisseur

    1.3 cm

  • Poids

    346 g

  • Lectorat

    à partir de 11 ANS

  • Support principal

    Grand format

  • Dewey

    800

Infos supplémentaires : Relié  

Gertrude Stein

Née en Pennsylvanie en 1874, Gertrude Stein s'installe en France avec son frère Léo en 1903. Elle s'intéresse à la peinture et devient parmi les mécènes les plus importants de la place parisienne, se démarquant par sa prédilection pour la radicalité artistique, notamment le cubisme. Avec Alice B. Toklas, elles animent un salon dans leur appartement rue de Fleurus, véritable rendez-vous de peintres (Picasso, Matisse, Derain.) mais aussi, dans les années 1920, des écrivains américains de la « génération perdue ». Elle-même écrit énormément, s'essayant à différents genres qu'elle réinvente toujours à sa manière, faite de répétitions et d'agrégations de propositions qui tordent la grammaire et en mettent au jour les mécanismes. Elle est morte à Paris en 1946.

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