Le maître du Gekiga s'attaque à un tabou toujours vivace de la société japonaise : le divorce.
Le « Club des Divorcés » est un petit bar à Ginza géré par Yukô, jeune femme de 25 ans divorcée. Elle devient la « mama » du bar après son divorce afin de subvenir aux besoins de sa petite fille de trois ans.
Difficile de tenir bon en tant qu'hôtesse, patronne et femme divorcée au milieu du Japon des années 70.
Le maître du Gekiga s'attaque à un tabou toujours vivace de la société japonaise : le divorce.
Le « Club des Divorcés » est un petit bar à Ginza géré par Yukô, jeune femme de 25 ans divorcée. Elle devient la « mama » du bar après son divorce afin de subvenir aux besoins de sa petite fille de trois ans.
Difficile de tenir bon en tant qu'hôtesse, patronne et femme divorcée au milieu du Japon des années 70.
Tokyo, au début de la libération des moeurs des années 70, Kyôko et Jirô vivent en couple bien que non mariés. Elle est graphiste dans une agence de pub. Lui est illustrateur débutant. Une belle et tumultueuse histoire d'amour va naître entre ces deux êtres !
Je m'appelle Sumire. La façon dont une femme mène sa vie ne regarde qu'elle. Si le simple caprice féminin a l'impétuosité de l'averse estivale, s'il ne dure pas plus que les lucioles surgies après la pluie, il symbolise la liberté de la femme.
Après avoir vécu la passion des débuts, Jirô et Kyôko mènent une vie paisible devenue quelque peu routinière. La quiétude semble enfin envisageable pour ces deux être tourmentés, mais les douleurs des temps passés sont toujours présentes, enfouies chez l'un et l'autre. Ils décident alors de définitivement laisser derrière eux ces souffrances pour se tourner vers un nouveau projet de vie sans pour autant renoncer à cet absolu d'amour qui les définit.
Kyôko et Jirô vivent une relation amoureuse tumultueuse et passionnée. Ces deux êtres à fleur de peau entretiennent des rapports violents l'un envers l'autre. Alors lorsque la famille, les collègues ou les médecins s'immiscent dans leur vie privée, celle-ci redouble de tensions. Tout à la fois attachants, dépendants de leurs émotions et perdus par leurs sentiments, Kyôko et Jirô tentent de construire et préserver un quotidien pas toujours rose.
Sumire est la fille illégitime d'un homme politique. Sa mère a été peu à peu délaissée par cet homme et s'est laissée gagner par la folie. A la mort de sa mère, Sumire décide de ne jamais vivre comme celle qui l'a élevée. Elle veut s'émanciper des hommes et faire de son corps un atout pour sa réussite personnelle. Mais pourra-t-elle se défaire de ses propres sentiments ?
Quand le maître, Kazuo Kamimura, décide de s'attaquer aux tabous de son époque avec l'élégance de son trait et une écriture percutante. Il nous offre un manga d'un romantisme poussé sans la moindre concession.
Le 15 août 1945, un avion de l'US Air Force s'écrase dans un champ de la région de Chiba, tandis que des paysans armés de bambous s'apprêtent à lyncher le pilote rescapé. C'est ainsi que s'ouvre, le jour même de la capitulation du Japon, le grand roman d'apprentissage de Kinta, jeune garçon élevé par son grand-père écrivain après la mort de sa mère. À travers lui, sa découverte de la sexualité, des affres de la vie et de la bassesse des sentiments humains, c'est aussi le Japon de l'immédiat après-guerre qui est dépeint dans ses mutations rapides et sa confrontation directe à l'Occident. Comment ne pas voir, dans la vocation de cet enfant pour le dessin et sa fascination pour une sexualité parfois trouble, une grande oeuvre autobiographique qui retrace avec une tendresse amère une vie à inventer dans un monde bouleversé ?
Quand le maître, Kazuo Kamimura, décide de s'attaquer aux tabous de son époque avec l'élégance de son trait et une écriture percutante. Il nous offre un manga d'un romantisme poussé sans la moindre concession.
Le jour même de la capitulation du Japon, Kinta, jeune garçon élevé par son grand-père écrivain, commence son apprentissage de la vie. À travers lui, c'est aussi le Japon de l'immédiat après-guerre qui est dépeint dans ses mutations rapides et sa confrontation directe à l'Occident.
Kinta aime beaucoup son grand-père. Il aime aussi son village : il voudrait pouvoir y vivre toute sa vie. Cependant, le grand-père de Kinta est malade, il tente de le cacher à son petit-fils mais la fièvre va avoir raison de lui. Orphelin, Kinta va être recueilli par Yanagawa Ôguno, un dessinateur, ami de son grand-père. Il va le suivre à Tokyô et abandonner le village qu'il aime tellement.
O-Tsuru (« la grue »), appelée ainsi parce que petite elle avait l habitude de se tenir sur un pied pour réchauffer l autre, a été vendue par ses parents pour qu'elle devienne une geisha.
Époque d'Edo, un jeune dessinateur, Sutehachi, arrive chez Katsuhika Hokusai, le génie de l'estampe et sa fille O-ei. Si la passion du garçon pour le dessin ne le cède en rien à celle du maître, hanté tout comme lui par la passion de l'estampe, il est aussi très attiré par le monde des plaisirs.
Sutehachi et O-Shishi vivent désormais ensemble dans le quartier de Fukagwa-Bannenjyô. C'est dans cet endroit reculé qu'O-Shishi se fascine pour les incendies. Entretemps, Hokusai termine son oeuvre dite « rêves » mais malheureusement quelques jours plus tard, celle-ci se retrouve détruite par un incendie. Le doute s'empare alors de Sutehachi. Est-ce O-Shishi qui en serait l'auteure ?
Le jour tragique est arrivé ! O-Shishi est en route pour se faire exécuter au grand dam de Sutehachi, son amant ! Afin de lui rendre hommage une dernière fois, il revêt son plus bel apparat avant de lui dire définitivement adieu ! Sutehachi fait alors un rêve prémonitoire où il voit son maître, Hokusai, mourir...
Ce magnifique coffret, orné d'illustrations inédites comprend le tome 1, le tome 2 et le tome 3 de Lorsque nous vivions ensemble
Jusqu'où la passion peut-elle conduire ? A l'époque d'Edo, le jeune dessinateur Sutehachi rencontre le génie de l'estampe Katsushika Hokusai.
La passion du garçon pour le dessin ne le cède en rien à celle du vieux maître. Mais le monde des plaisirs est là, prêt à emporter le jeune homme, Laissez-vous gagner par la folie du dessin avec cet envoûtant manga en 3 tomes de Kazuo Kamimura.
Sayo, condamnée à la prison à vie, pour avoir tué l'assassin de son mari et de son fils, ne vit plus que pour une chose : donner naissance à l'instrument de sa vengeance. Elle décède malheureusement en couches en donnant le jour à une fille, Yuki, qui, suivant sa destinée, deviendra la redoutable Lady Snowblood, aux charmes aussi affûtés que le sabre !
Rannosuke Hanayagi, 17e héritier de la maison Kurokami, dirige, sous le couvert d'une école renommée d'ikebana qui s'étend sur tout le pays, une entreprise du vice et de la cruauté. Il consume les jeunes filles comme des cigarettes, les torturent et les humilient à loisir. Par ses liens avec le monde économique et politique, qu'il tient fermement en lui faisant bénéficier de ses esclaves sexuelles, Rannosuke est un prince sadiste intouchable qui règne sur un empire de la luxure.
Il se lance dans l'éducation d'une nouvelle jeune fille, Sayuri, qui doit devenir la nouvelle reine de cet empire.
Elle devient l'objet ultime du désir du maître.
Une exploration sans fard, si ce n'est celui du pinceau magistral de Kazuo Kamimura, de la profondeur du désir et de la perversion humaine.
Dans l'immédiat après-guerre, la petite Shoko est livrée à elle-même après le décès tragique de sa mère. Réduite à commettre des vols, elle va tout mettre en oeuvre pour survivre dans ce Japon qui se reconstruit. Animée par la vengeance, la jeune fille veut punir ceux qui ont fait du mal aux personnes qui l'ont recueillie et aidée...
Rannosuke Hanayagi, 17e héritier de la maison Kurokami, dirige, sous le couvert d'une école renommée d'ikebana qui s'étend sur tout le pays, une entreprise du vice et de la cruauté. Il consume les jeunes filles comme des cigarettes, les torturent et les humilient à loisir. Par ses liens avec le monde économique et politique, qu'il tient fermement en lui faisant bénéficier de ses esclaves sexuelles, Rannosuke est un prince sadiste intouchable qui règne sur un empire de la luxure.
Il se lance dans l'éducation d'une nouvelle jeune fille, Sayuri, qui doit devenir la nouvelle reine de cet empire. Elle devient l'objet ultime du désir du maître.
Une exploration sans fard, si ce n'est celui du pinceau magistral de Kazuo Kamimura, de la profondeur du désir et de la perversion humaine.